Des camps d'internement furent également créés en Algérie, au Maroc et en Tunisie. Tel est le cas du CENTRE DE SEJOUR SURVEILLE DE BOSSUET établi dans la redoute.
Beaucoup de communistes arrêtés en 1939-1940 y furent transférés après un séjour plus ou moins long dans des camps de la Métropole (NEXON, ST-PAUL-D'EYJEAUX, ST- SULPICE-LA-POINTE notamment).
Les conditions de vie y furent, dans l'ensemble, un peu meilleures que dans les autres camps.
Le C.S.S. DE BOSSUET fut libéré au printemps 1943, quelques mois après le débarquement allié en Afrique du Nord.
Cachet de la censure au verso.