La rupture unilatérale du pacte germano-soviétique par les Allemands, suivie du déclenchement de l'Opération BARBAROSSA, se traduisit par un regain de tension contre les communistes.
Les autorités d'occupation exigèrent en conséquence du Gouvernement de Vichy une nouvelle traque des communistes tant en zone occupée qu'en zone libre comme en témoigne la lettre ci-dessous représentée.
L'incarcération ne constituait hélas, pour certains, qu'une étape sur le chemin des camps d'internement français de ST-PAUL-D'EYJEAUX, NEXON, ST-SULPICE-LA-POINTE, voire de BOSSUET en Algérie, avant un ultime séjour dans un camp de concentration nazi.